Nous, si on se lève tôt, c'est pour pas avoir Sarko !

mercredi 25 avril 2007

On peut encore faire gagner Ségolène Royal

Mercredi 25 avril 2007. Il reste 11 jours avant le scrutin du deuxième tour des élections présidentielles.

Selon les prévisions, sur 40 millions de votants, seulement 500,000 à 1 million d'electeurs sépareront vraissemblablement Segolène Royal et Nicolas Sarkozy... si on ne fait rien d'ici là.

Dans le pire des cas, 1 million ça parait beaucoup, mais n'oublions pas, nous sommes 10 millions à avoir voté Ségolène Royal au premier tour. Si chacun d'entre nous essayait de convaincre une personne qu'il connait de voter Segolène Royal plutôt que Nicolas Sarkozy et si parmi nous seulement un sur dix y parvenait, Ségolène Royal gagnerait ! tout n'est donc pas joué !

Je repète, si parmi nous, seulement 1 sur 10 parvenait à convaincre un électeur indécis ou un élécteur de Nicolas Sarkozy de voter pour Ségolène Royal, alors Nicolas Sarkozy serait battu.

Cela veut dire qu'à 11 jours du deuxième tour, on peut encore y arriver, et pour cela il suffit d'essayer, chacun d'entre nous. Il faut, dans les 10 jours, essayer de convaincre un autre électeur. Si parmi nous neuf sur dix échouent mais un seul y arrive, alors c'est gagné.

Il faut donc, d'urgence:
1 - essayer de convaincre autour de soi des électeurs potentiels - rappelez-vous, 1 électeur convaincu pour 10 tentatives, et c'est gagné. Il reste 10 jours.
2 - passer la consigne à tous ceux qui ont voté Ségolène Royal et leur demander à leur tour de passer la consigne. Nous sommes 10 millions, nous sommes tous à quelques mails les uns des autres, alors n'attendons pas, diffusons vite.

Allez, au boulot, nous si on se lève tôt c'est pour pas avoir Sarko.

Roger Martin

Des arguments pour convaincre les électeurs

Ce blog va permettre d'échanger les meilleurs arguments pour convaincre les électeurs de voter pour Ségolène Royal et surtout de ne pas voter pour Nicolas Sarkozy.

Allez-y, ajoutez vos arguments en commentaire de ce message et enrichissons au fur et à mesure.


Roger Martin